Origine physique et psychologique d'un problème dentaire
C’est sans doute l’erreur de la médecine conventionnelle que de dénier toute importance au psychisme à partir du moment où elle explique ou croit expliquer une maladie par des facteurs objectifs. Toute pathologie est plurifactorielle, c’est à dire la conséquence d’un empilement de facteurs dont l’accumulation finit par conduire à l’apparition des symptômes. Toute maladie s’enracine dans le physique aussi bien que dans le psychisme, elle est donc psychosomatique au sens littéral de la réunion de psyche (l’âme) et de soma (le corps). Ainsi la carie est causée à la fois par le sucre et les bactéries qui produisent un milieu acide, conditions indispensables à la déminéralisation de l’émail, et par le psychisme qui bloque le mécanisme protecteur de la dent conférant à celle-ci une auto-immunité naturelle, comme expliqué dans le Pratikadent à la rubrique Carie. De même, le déchaussement est autant le produit de la prolifération de bactéries spécifiques qui génèrent des toxines irritantes pour l’os et la gencive, que la conséquence du stress qui acidifie le milieu buccal et altère les mécanismes de défense présents dans la salive.
Psychosomatique et facteurs psychologiques : traitement holistique
La prise en compte des facteurs psychiques, codifiés à travers le Langage des dents ou décodage dentaire, a donc pleinement sa place dans le traitement holistique ou global d’un problème (carie, déchaussement ou autre). Les douleurs paradoxales (c'est à dire sans cause physique reconnue), sur dent dévitalisée ou vivante, sont fréquemment des somatisations d'un stress ou d'un conflit psychologique non résolu. Identifier le stress responsable et tenter d’y apporter une réponse à travers la prise de conscience proposée par le décodage dentaire ou langage des dents ne peut qu’optimiser les chances de succès du soin dentaire par ailleurs mis en œuvre.
Psychosomatique: importance des facteurs psychologiques
Évoquer une cause psychosomatique quand il s’agit d’une pathologie aussi clairement identifiée que la carie ou le déchaussement, suscite généralement de l’incrédulité ou prête à sourire. Pourtant, il est depuis longtemps établi qu’en plus des sucres et des bactéries, les facteurs de stress jouent un rôle déterminant dans la genèse d’une pathologie dentaire. De nombreuses études ont montré que le taux de carie est directement proportionnel au degré de stress auquel est soumise une population, qu’elle soit animale (expériences chez le rat) ou humaine (constat chez des réfugiés, par exemple)*. De plus, des mécanismes biologiques permettent aujourd'hui d'expliquer les liens entre stress et caries. Au moins aussi nombreuses, d’autres études attestent du lien entre stress et maladies parodontales.

Psychosomatique : c'est dans la tête !
Les douleurs de la langue (brûlures, picotements, etc.), dites essentielles parce qu’on en connaît pas l’origine, sont souvent attribuées à des causes psychiques. Par exemple, Gaëlle souffre de picotements de la langue après qu’on lui ai posé des couronnes en métal. Le stomatologue consulté lui répond que ses symptômes sont dus à des troubles psychologiques et refuse d’envisager l’hypothèse d’une allergie possible à l’un des métaux entrant dans la composition de l’alliage des couronnes. Dire “c’est psychosomatique !” est dans ce cas une manière sans appel de renvoyer le patient à son problème en lui faisant comprendre qu’on ne peut rien pour lui. De même la dentisterie conventionnelle attribue volontiers à des causes somatiques, psychologiques, voire psychiatriques, les troubles dont se plaignent les patients intoxiqués au mercure dentaire ou mercuriens. Une manière de nier la toxicité du plombage ou amalgame dentaire.
Plus d'information, voir sur www.zeta-dental.fr
C’est sans doute l’erreur de la médecine conventionnelle que de dénier toute importance au psychisme à partir du moment où elle explique ou croit expliquer une maladie par des facteurs objectifs. Toute pathologie est plurifactorielle, c’est à dire la conséquence d’un empilement de facteurs dont l’accumulation finit par conduire à l’apparition des symptômes. Toute maladie s’enracine dans le physique aussi bien que dans le psychisme, elle est donc psychosomatique au sens littéral de la réunion de psyche (l’âme) et de soma (le corps). Ainsi la carie est causée à la fois par le sucre et les bactéries qui produisent un milieu acide, conditions indispensables à la déminéralisation de l’émail, et par le psychisme qui bloque le mécanisme protecteur de la dent conférant à celle-ci une auto-immunité naturelle, comme expliqué dans le Pratikadent à la rubrique Carie. De même, le déchaussement est autant le produit de la prolifération de bactéries spécifiques qui génèrent des toxines irritantes pour l’os et la gencive, que la conséquence du stress qui acidifie le milieu buccal et altère les mécanismes de défense présents dans la salive.
Psychosomatique et facteurs psychologiques : traitement holistique
La prise en compte des facteurs psychiques, codifiés à travers le Langage des dents ou décodage dentaire, a donc pleinement sa place dans le traitement holistique ou global d’un problème (carie, déchaussement ou autre). Les douleurs paradoxales (c'est à dire sans cause physique reconnue), sur dent dévitalisée ou vivante, sont fréquemment des somatisations d'un stress ou d'un conflit psychologique non résolu. Identifier le stress responsable et tenter d’y apporter une réponse à travers la prise de conscience proposée par le décodage dentaire ou langage des dents ne peut qu’optimiser les chances de succès du soin dentaire par ailleurs mis en œuvre.
Psychosomatique: importance des facteurs psychologiques
Évoquer une cause psychosomatique quand il s’agit d’une pathologie aussi clairement identifiée que la carie ou le déchaussement, suscite généralement de l’incrédulité ou prête à sourire. Pourtant, il est depuis longtemps établi qu’en plus des sucres et des bactéries, les facteurs de stress jouent un rôle déterminant dans la genèse d’une pathologie dentaire. De nombreuses études ont montré que le taux de carie est directement proportionnel au degré de stress auquel est soumise une population, qu’elle soit animale (expériences chez le rat) ou humaine (constat chez des réfugiés, par exemple)*. De plus, des mécanismes biologiques permettent aujourd'hui d'expliquer les liens entre stress et caries. Au moins aussi nombreuses, d’autres études attestent du lien entre stress et maladies parodontales.
Psychosomatique : c'est dans la tête !
Les douleurs de la langue (brûlures, picotements, etc.), dites essentielles parce qu’on en connaît pas l’origine, sont souvent attribuées à des causes psychiques. Par exemple, Gaëlle souffre de picotements de la langue après qu’on lui ai posé des couronnes en métal. Le stomatologue consulté lui répond que ses symptômes sont dus à des troubles psychologiques et refuse d’envisager l’hypothèse d’une allergie possible à l’un des métaux entrant dans la composition de l’alliage des couronnes. Dire “c’est psychosomatique !” est dans ce cas une manière sans appel de renvoyer le patient à son problème en lui faisant comprendre qu’on ne peut rien pour lui. De même la dentisterie conventionnelle attribue volontiers à des causes somatiques, psychologiques, voire psychiatriques, les troubles dont se plaignent les patients intoxiqués au mercure dentaire ou mercuriens. Une manière de nier la toxicité du plombage ou amalgame dentaire.
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